Budget 2025

Budget principal 2025

Le Budget Primitif 2025 s’élève à 31 384 000 €, répartis entre 22 340 000 € en fonctionnement et 9 044 000 € en investissement.

Par rapport à 2024 (31 330 000 €), les dépenses de fonctionnement augmentent de 5,73 %, principalement en raison de la réalisation des travaux de restaurations des Milieux aquatiques (10 408 440 €) qui montent en charges et de l’augmentation des charges de personnel (6 474 000€) en lien avec les recrutements réalisés en 2024. Les effectifs se stabilisent en 2025.

Les dépenses d’investissement totalisent 8,81 M€ de dépenses réelles. Les principales opérations s’élèvent à 1,5 M€ pour un projet d’aménagement co-maîtrisé à Pipriac entre l’EPTB Eaux & Vilaine, Redon Agglomération et la commune, financé par le Fonds Vert. Des travaux sur le barrage de Moisdon-La-Rivière sont également prévus pour 69 K€. Ainsi que les travaux majeurs sur le barrage d’Arzal, notamment le confortement des gabions aval (4,77 M€, avec 2,12 M€ en 2025), la rénovation des batardeaux (2,78 M€, avec 2,16 M€ en 2025) ; le système anti-salinité sur l’écluse (8,85 M€, avec 150 K€ en 2025), sans oublier les opérations pour la protection contre les inondations chiffrées à 1,14 M€ répartis sur plusieurs projets.

Les recettes d’investissement viennent principalement de :

• 1,5 M€ du Fonds Vert pour l’aménagement de Pipriac.
• 327 K€ de subventions pour la protection contre les inondations.
• FCTVA estimé à 620 K€ pour les investissements réalisés en 2024.
• Virement de 1,57 M€ du budget eau potable, en grande partie pour le financement des travaux sur le barrage.

Budget Eau potable 2025

Le budget annexe Eau potable s’équilibre à 16,42 M€.

Les dépenses d’investissement diminuent à 2,7 M€ de dépenses réelles. En 2025, les principales opérations incluent :

• 1 M€ pour le lancement des travaux de l’écluse anti-salinité (2e semestre 2025) ;
• 600 K€ pour la création d’un accélérateur à Nivillac (120m³/h) ;
• 234 K€ pour des études, dont 140 K€ pour le renouvellement du saturateur à chaux et la création d’une aire de stockage des boues à l’usine de Férel ;
• 776 K€ pour le remboursement du capital de la dette.

Les dépenses de fonctionnement s’élèvent à 4,87 M€, dont 2,8 M€ pour le barrage d’Arzal (travaux des gabions et batardeaux), 415 K€ pour des études (dont 200 K€ pour les études Hydrologie, Milieux Usages Climat), 180 K€ pour le programme européen Life Revers’Eau, 700 K€ de redevance à l’agence de l’eau Loire-Bretagne, 240 K€ pour la Région Bretagne et 963 K€ pour la refacturation des charges de personnel. De plus, 6 M€ sont alloués à la rémunération du concessionnaire Suez pour la gestion de l’usine d’eau potable.

Les recettes de fonctionnement proviennent principalement de la vente d’eau potable, estimée à 12 M€, sur un volume de 18 millions de m³.